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Oublié le baume pour les lèvres et les traces de Clostébol retrouvés suite à un contrôle anti-dopage effectué en septembre 2016 en Italie.

Suspendue 13 mois par sa fédération puis 18 mois suite à un appel de la FIS devant le Tribunal Arbitral du Sport, la star Norvégienne a payé très cher son étourderie.

Les quantités du produit incriminés, retrouvés en très faible quantité, semblent accréditer la thèse toujours défendue par Therese Johaug, celle d'une grosse bétise.

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Inutile d'en rajouter sur cette histoire qui a fait les gros titres.

La punition infligée à la championne olympique, championne du monde et vainqueur du globe de cristal, se termine aujourd'hui 17 avril 2018.

Dès demain elle pourra de nouveau s'entrainer avec son équipe et participer à toutes les compétitions.

Therese Johaug prendra d'ailleurs samedi le départ de la fameuse Skarverennet, ultime course de la saison en Norvège. Elle s'alignera non pas avec les élites, mais au milieu des 12 000 populaires, avec le dossard d'un comité d'entreprise.

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Pour la Norvégienne les choses sérieuses commenceront en novembre avec son retour sur le circuit mondial.

Ses rivales vont retrouver une Johaug plus guèrrière que jamais avec l'envie de prendre une immense revanche sur cette punition qu'elle a toujours refusé.

En larmes, au bord de la dépression, durant de longs mois, elle va se servir de tout ce qu'elle a vécu pour revenir très vite au sommet et faire oublier le départ de la reine Marit Bjoergen.

En février prochain, lors des mondiaux de Seefeld, Therese Johaug placera la barre très très haut. Ses rivales sont prévenues...

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Photo : Nordic Focus

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