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Une première dans l'histoire 

Jamais dans toute l'histoire des JO une nation avait été exclue d'une édition. En 2016 le CIO avait laissé le choix à chaque fédération d'intégrer ou non une équipe de Russie, ce ne sera pas le cas à PyeongChang.

Le coup est très dur pour une Russie qui a toujours refusé d'admettre un dopage d'état à Sotchi, condition demandée par le CIO pour participer à l'édition 2018.

Selon les Russes toute cette affaire a été orchestré par Grigory Rodchenkov, patron du laboratoire antidopage de Moscou durant les JO 2014. Un homme qui a filé aux USA avant de tout déballer.

Cette affaire devenue autant sportive que politique comporte toujours de nombreuses zones d'ombres. On ne connaîtra jamais l'exacte vérité et le rôle joué par les puissants lobbys tournant autour du CIO.

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En attendant la Russie se retrouve ce soir humiliée.

Certes la porte est ouverte pour les athlètes propres qui pourront s'aligner sous drapeau neutre mais les condtions sont tellement strictes qu'il risque de ne plus rester grand monde.

L'exemple récent des athlètes Russes autorisés à évoluer sous bannière neutre aux JO de Rio est là pour nous le rappeler. Les élus étaient rares.

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Une commission présidée par l'ancienne ministre des sports Françaises devra valider toute demande d'un athlète Russe pour participer aux JO 2018.

Elle seule pourra donner son feu vert.

Tout sportif Russe désirant se rendre à PyeongChang devra également se soustraire à des contrôles anti-dopage spécifiques.

Savoir aussi que tous ces athlètes Russes ont déjà été controlés plus que tous les autres ces derniers mois.

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Voir : le communiqué du CIO en anglais ICI

Version Française à suivre

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Photo : Nordic Focus

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