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Premier point presse depuis la révélation de son contrôle positif
"J'ai pris le tube de crême, je l'ai déballé et j'ai jeté l'emballage puis j'ai commencé à l'utiliser deux fois par jour." explique t'elle encore une fois devant un journaliste de la NRK venu ce matin à sa rencontre sur les hauteurs d'Oslo.
Les larmes aux yeux (voir la vidéo en cliquant sur le lien ci-dessous), elle continue ses explications.
"Le docteur a acheté ce tube à la pharmacie, il me l'a donné ensuite. Je lui ai demandé plusieurs fois si ce médicament figurait sur la liste des produits autorisés, il m'a répondu que oui.
Je ne me suis pas posé plus de questions, c'est son job de vérifier tout cela." poursuit-elle.
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Elle clame son innoncence
"Je peux dire à tout le monde que je suis propre. C'est vrai je n'ai pas étudié ce qui figurait sur l'emballage de la crême, je ne me souviens pas avoir vu quelque chose."
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"Depuis cette histoire ma vie a basculé en une minute. Tout est devenu difficile pour moi, surtout de voir les filles partir en stage sans moi. J'ai pensé à tout arrêter mais je reviendrai sur les skis" assure Therese Johaug.
"J'ai conscience que ce sera peut-être pas pour cette saison, mais je vais attendre et dans le futur je me battrai encore pour donner des médailles à la Norvège."
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Beaucoup de soutien
"J'ai reçu énormément de messages et de témoignages de soutien, des fleurs. Des gens m'arrêtent dans la rue ou lors de mon entrainement pour m'encourager. C'est grâce à eux que je trouve la force de continuer".
"Je voudrais également remercier ma famille et mes coéquipies pour leur aide" termine une Johaug toujours très marquée".
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A l'étranger une grande majorité des passionnés de fond demande une punition exemplaire contre Therese Johaug et la Norvège.
Pourtant on ne peut pas écarté le fait qu'elle dise la vérité et dans ce cas, elle doit effectivement vivre un cauchemar.
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Photo : Therese Johaug / Falun / Février 2016
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