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Allemagne ? Norvège ? France ?

La bataille entre les trois plus grosses nations du biathlon mondial s'annonce terrible sur les pistes olympiques. La Norvège veut reprendre la main et affiche comme toujours de hautes ambitions.

La France, par l'intermédiaire de l'entraineur en chef Stéphane Bouthiaux, se donne un objectif minimal de quatre médailles et onze dans le meilleur des cas.

Côté Allemand on mise prudemment sur conq médailles tout en annonçant vouloir devenir la nation N°1 dans les discipline.

A quelques petites semaines de l'ouverture de la saison le match des déclaration est lancé.

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"Cinq médailles, trois sur les courses individuelles et deux par équipes"

Björn Weisheit, le directeur sportif du biathlon Allemand, se doit d'être ambitieux. "Après nos déboires à Sotchi nous pourrons compter sur Laura Dahlmeier, Simon Schempp et Benedikt Doll.

Avec ce trio de leader nous pouvons et nous voulons devenir la nation numéro 1 aux JO" poursuit-il sur le site Sport1.

Un objectif évidemment réalisable pour cette équipe qui a remporté en 2017 la coupe du monde par nations chez les dames et chez les hommes.

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Laura Dahlmeier comme à Hochfilzen ?

Si la gagnante du général de la coupe du monde, cinq fois médaillée d'or lors des derniers mondiaux, continue sur sa lancée lors des JO, ce sera le jackpot assuré pour la Mannschaft.

Schempp et ses coéquipiers auront plus de mal face à Fourcade, Shipulin, Boe et Svendsen mais souvenez vous de Benedikt Doll venu à la surprise générale remporter le titre mondial du sprint en 2017.

Cet hiver la bonne surprise Allemande pourrait bien venir d'une certaine Denise Herrmann. L'ex fondeuse, ultra rapide sur les skis, a beaucoup travaillé son tir durant l'été. En visant juste la médaille sera toute proche.

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Photo : Nordic Focus

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