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Les réactions

Clément Parisse :

"Je suis parti à quelques secondes de la Norvège, il fallait pas jouer avec les Russes et se concentrer sur le bronze. Il y avait une seule place à prendre, le bronze, et on l’a prise, pour nous c’est comme de l’or."

 

Hugo Lapalus :

"Premier mondiaux, premier relais, première médaille c’est incroyable. J’ai mis tout ce que j’avais sur les bosses. Ensuite vivre la suite dans le stade, c’était fou !"

 

Jules Lapierre :

"Il y avait du stress, je me disais que tout cela allait être chaud en cas d’arrivée au sprint. Je suis resté tranquille quand Bolshu est parti.

Ensuite je suis resté caché en attendant la dernière bosse, après j’ai tout mis, je vois que les autres lâchent.

J’ai continué d’en remettre, j’avais un peu peur que derrière ils reviennent et finalement la dernière ligne droite et ensuite le grand bonheur."