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Pas d'accord avec les Russes
On ne s'attendait pas à autre chose venant de "l'ennemi Américain." Evidemment on ne va pas donner tort à Kikkan Randall face à des cas de dopage avérés mais toute cette agitation et cette pression venant d'Outre Atlantique est perturbante.
"C'est prometteur et encourageant de voir le CIO prendre au sérieux le problême de dopage chez les Russes" clame t'elle sur le site de la NRK.
"Ils ont pris le temps pour étudier soigneusement et scrupuleusement le dossier et l'aspect juridique. Aujourd'hui mon coeur va vers les athlètes qui se sont fait voler leurs médailles."
L'ancienne gagnante de la coupe du monde de sprint, candidate déclarée pour obtenir une place au CIO en tant que représenante des athlètes, n'était peut-être pas la mieux placée pour donner une leçon de vertu.
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On notera que mis à part Harvey, Randall et quelques uns de leurs collègues, aucun fondeur Européen n'a encore pris la parole suite aux disqualifications des Russes.
Northug l'a joué en mode ignorance, Sundby en mode regrets.
Les fondeurs de l'équipe de France, qui vont sans doute récupérer l'argent du relais des JO 2014 au lieu du bronze, sont également restés discrets. Ils n'en rajoutent pas et parlent ici "d'une bonne nouvelle pour leur sport".
Côté Allemand, Finlandais, Italiens ou Suédois, personne n'a évoqué l'affaire. Pas toujours facile à faire lorsque certaines casseroles trainent toujours dans les placards...
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Photo : Nordic Focus
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