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Après la FIS

Depuis quelques années la Fédération Internationale de Ski a elle aussi diminué les quotas Norvégiens, notamment, afin de donner plus de chance aux nations rivales.

Cet hiver d'autres mesures vont entrer en vigueur comme par exemple une limitation des tests de fartage avant les courses, qui profitaient logiquement aux équipes avec un plus gros staff.

L'an prochain, les nouvelles normes interdisant l'usage des farts fluorés devrait également changer un peu la donne et peut-être réduire un petit peu l'avantage acquis par les plus gros budgets.

Tout cela ne plait pas beaucoup en Norvège ou en Russie même si on comprend que l'intérêt de la discipline diminue dans les pays Alpins, trop souvent privés de podium.

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Le CIO emboite le pas

Aujourd'hui on apprend que le Comité International Olympique va lui aussi diminuer, de manière nette, les quotas de toutes les équipes, grandes nations comprises.

Dès les prochains JO de Pékin en 2022, le total maximum de fondeurs et fondeuses par nations passera de 20 à 16 maximum. De plus la parité devra être respectée avec un maximum de 8 filles et 8 garçons.

Cela signifie que les places au sein des équipes Norvégiennes, Suédoises et Russes vont devenir très difficiles à obtenir et on va sans doute se retrouver en 2022 avec des fondeurs de niveau mondial, privés de JO, faute de place.

Evidemment les avis sur ces nouvelles lois divergent selon la couleur de nos passeports mais une chose est certaine les lignes ont commencé à bouger.

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Photo : Nordic Focus

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