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"C'était difficile"
La Suédoise de 27 ans rêvait d'un meilleur début, rêvait d'une première course internationale plus aboutie avant de se perdre sous les rafales d'Arber.
Partie avec son dossard N°77, Stina Nilsson s'en sort bien sur le tir couché avec une erreur, tout en prenant beaucoup de temps. Par contre la suite, debout, fût cauchemardesque avec quatre tours.
Et sur les skis, contrairement à ce que l'on pouvait attendre, c'était loin d'être efficace.
"Je suis soulagée que mes débuts soient derrière moi. Tout le monde avait de grandes attentes, sans doute plus élevées que les miennes. Maintenant que c'est fait, je pense que je serais capable de faire beaucoup mieux. Aujourd'hui c'était difficile."
Concernant mon temps de ski, il est vrai que cet été j'ai mis l'accent sur le tir, mais il ne faut pas oublier qu'en ski de fond, j'étais plus forte en style classique" indique une Nilsson qui veut évacuer toute pression.
On ne se rend pas compte depuis la France, mais elle vit depuis plusieurs mois avec cette pression médiatique sur les épaules, compliqué quand on découvre le biathlon.
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Helena Ekholm, ancienne vainqueur du général de la coupe du monde, apporte son soutien à Nilsson
"Je ne suis pas surpris par son résultat. L'entrainement est une chose mais rien ne remplace la compétition. Elle découvre un nouvel environnement et doit gêrer cette pression. Elle aura des hauts et des bas.
Le plus important c'est qu'elle participe au circuit IBU Cup, elle va apprendre et fera vite des progrès."