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Coco Gauff espère briller à Rome

"Depuis mon arrivée ici, je continue de travailler, de construire sur le même chemin qu'à Madrid. Je continue de bosser mon service et j'ai l'impression de m'améliorer chaque jour.

Je veux continuer comme cela, prendre les bonnes décisions sur le court et faire de mon mieux.

Pour moi, les Jeux Olympiques sont une priorité, je vous dirais presque au même niveau que les Grands Chelems. Je ne leur donnerais pas une note supérieure ou inférieure car je n'y ai jamais joué auparavant, ce sera ma première fois.

Évidemment, je veux toujours bien faire, donc je vais essayer de décrocher une médaille. La préparation va être intéressante car je n’ai jamais fait le passage du gazon à la terre battue auparavant.

Je ne me mets pas trop de pression, j'ai vraiment envie de profiter de l'expérience, même si j'espère vivre cette expérience olympique plusieurs fois dans ma vie." indique Coco Gauff en conférence de presse.

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Coco Gauff ne regarde jamais le classement 

On est pas obligé de la croire, mais l'Américaine explique se détourner des statistiques et des points WTA.

"Pour moi, le classement n'a jamais eu d'importance, je ne le regarde jamais. Peut-être que vers la fin de l’année dernière, je le regardais un peu plus pour voir si je me qualifiais ou non pour les finales WTA.

Dans mon cas, c'est plutôt une question de titres. Si vous jouez mal pendant quelques semaines d'affilée, vous vous sentez mal dans votre peau. Je n'ai jamais été une joueuse très attentif au ranking.

Ce que je veux, c'est bien réussir dans les tournois, alors les points viendront.

Je sais que pour certaines personnes, c'est difficile, surtout quand leur classement bouge beaucoup, surtout quand on est dans cette zone de compétition dans les phases précédentes ou les tableaux principaux, alors la situation devient plus difficile.

Lorsque vous êtes dans le top 20, ce problème n’existe pas car vous savez que vous allez tout jouer."

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Coco Gauff à propos de Rafael Nadal

"C'est étrange d'accepter sa prochaine retraite, car la majeure partie de ma vie je l'ai vu gagner à Roland Garros, j'imagine qu'il traverse un moment délicat.

J'étais à Madrid et là-bas, il ne me semblait pas qu'il prenait sa retraite, avec la cérémonie qu'on lui a faite ensuite, je me demandais si c'était la vraie vie ou non. Je suis triste parce que c'est l'un de mes joueurs préférés.

J'admire sa mentalité et son intensité, c'est probablement le seul joueur que je regarderais s'il s'entraînait sur le terrain à côté de moi. Je n'ai jamais vu de manque de respect chez lui, il a cette aura autour de tout ce qu'il fait, pour moi tout cela est admirable.

C'est quelqu'un de très gentil, je me souviens que l'année dernière à Roland Garros, il m'avait touché dans le dos et m'avait dit : ' Bon travail '. À ce jour, je n'arrive toujours pas à croire qu'il m'a parlé.

Il aura un héritage inégalé pour l’intensité avec laquelle il fait tout, c’est quelque chose qui manquera à tout le monde."

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