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L'histoire serait belle
En 2016 devant le fabuleux public Norvégien, Bescond, Dorin-Habert, Fillon-Maillet et Fourcade décrochait l'or et lançaient des mondiaux devenus historiques pour la France qui terminait avec onze médailles, dont six en or.
Douze mois plus tard on rêve d'un même bilan, même si cela parait bien compliqué de faire aussi bien, et on souhaite une même entame sur le relais mixte.
Depuis le sacre d'Oslo seule Anais Bescond doit laisser sa place à Anais Chevalier, logiquement jugée plus performante sur les résultats de sa saison.
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Avec la Dauphinoise pour prendre le départ, puis sa camarade de club aux 7 Laux Marie Dorin-Habert, la France possède un superbe duo féminin.
Ensuite avec Quentin Fillon-Maillet et surtout le patron Martin Fourcade pour terminer, on est pas loin d'avoir une "Dream Team".
La France favorite ? Oui mais cela reste du biathlon.
Il suffira de quelques balles manquées pour voir les autres nations fortes passer devant.
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L'Allemagne avec Hinz, Dahlmeier, Peiffer et Schempp vise également le titre mondial.
Même chose pour La Norvège avec Olsbu, Eckhoff, J.Boe et Svendsen et la Russie avec Podchufarova, Akimova, le controversé Loginov et Shipulin.
La France possédant un petit avantage sur ces trois nations fortes car sa paire féminine devrait apporter plus de garanties.
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Quatre grandes nations pour les médailles et quelques outsiders aux dents longues.
L'Italie, la République Tchèque, la Suède, les USA, l'Ukraine, l'Autriche sont capables, dans un très très bon jour, de venir terminer ce relais sur le podium.
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Cette épreuve mixte est idéale pour démarrer ses mondiaux et permettra, en plus, à tous les biathlètes de se mettre en jambes pour les premières épreuves individuelles prévuès dès vendredi avec le sprint dames.
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Photo : Nordic Focus
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