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Toujours la même histoire
Lors de la réunion de son comité exécutif, qui s'est tenue ce mardi à Salzbourg, l'IBU est restée ferme. Il n'y aura plus de place pour les farts fluorés lors des compétitions internationales dès le mois de novembre 2022.
Problème, la machine censée effectuer les tests sous les skis n'est, à ce jour, pas encore fiable. "Aujourd'hui cette machine détecte du fluo sous les skis alors qu'il n'y en a pas, et n'en trouve pas, lorsqu'il y en a." indique le responsable des farteurs Norvégiens Tobias Dahl Fenre.
Alors effectivement, il y a de quoi se montrer circonspect pour la suite, même si l'IBU qui doit encore effectuer des tests sur neige en juillet, se montre très optimiste.
"Je sais qu'ils travaillent dur pour trouver quelque chose qui fonctionne à 100 %. En attendant, nous ne pouvons qu'espérer et surtout faire confiance à toutes les équipes techniques, dans chaque nation, pour ne pas tricher." explique Johannes Boe à la NRK.
"En matière de dopage, c'est plus facile, les biathlètes sont responsables de leurs actes, mais avec les skis, cela devient un peu difficile. S'il devait y avoir des tests fluors positifs, qui va payer la note ?
Nous devons absolument avoir une machine qui ne se trompe pas, il n'y jamais au à ma connaissance de faux tests positifs à l'EPO, il faut que ce soit la même chose pour le fluor sous les skis." ajoute Vetle Sjastad Christiansen.