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Ski alpin / Coupe du monde Garmisch
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Le Top 3
1/ Dominik Paris (ITA) : 1'33"81 = 19e succès en carrière
2/ Beat Feuz (SUI) : à 0.37sec = 51e podium en carrière
3/ Matthias Mayer (AUT) : à 0.40sec = 34e podium en carrière
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Retour au sommet
Blessé en janvier 2020, Dominik Paris avait du interrompre sa saison pour se soigner avant d'entamer une longue rééducation. Revenu aux affaires en décembre, il a pris un peu de temps pour retrouver ses sensations.
Dès la descente de Bormio, l'Italien repointe ses spatules parmi les meilleurs avec une 4e place avant d'enchainer à Kitzbühel avec un nouveau 4e rang, suivi le lendemain par un podium.
Quinze jours plus tard, sur cette piste rapide et technique de Garmisch, il vient chercher la victoire de façon incontestée. Le colosse du Haut Adige, plus rapide que Feuz et Mayer sur les parties de glisse s'offre un 19e succès en carrière.
Un succès qui tombe à pic à seulement quelques jours des mondiaux qui se dérouleront à Cortina, pas très loin de chez lui.
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Un podium de rois
Avec Paris vainqueur, puis Feuz et Mayer, cette descente de Garmisch accouche d'un superbe podium, d'un podium de rois. Le numéro 1 mondial Helvète conforte sa première place au classement de la discipline, mais son rival Autrichien reste dans le match.
Aujourd'hui 48 points les séparent au classement de la discipline et la décision se fera après les mondiaux à Kvitfjell puis à Lenzerheide.
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Max Franz manque le podium en passant la ligne avec deux petits centièmes de retard sur son coéquipier Mayer pendant que l'Italienne Christof Innerhofer, 5e, manquait lui aussi la boite suite à une grosse faute.
Carlo Janka, encore un descendeur d'expérience, prend une belle 6e place devant Ganong et un épatant Marco Odermatt venu prendre le 8e rang malgré une piste dégradée et le dossard N°20.
Le grand espoir Suisse, qui s'alignait pour la première fois sur cette descente, reste placé à la 3e place du général derrière le probable vainqueur Alexis Pinturault et l'Autrichien Marco Schwarz.
En revanche cette descente est manquée pour l'ensemble de l'équipe de France qui place tout de même l'éternel Johan Clarey à la 10e place.
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