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Plus de clarté
Le ski-cross, discipline qui séduit les TV et un public plus jeune, malgré des courses encore trop souvent jouées dès le premier virage, veut passer à la vitesse supérieure.
Dès la saison prochaine, le ski-cross ne fera plus partie du giron "FIS Freestyle" qui regroupe les bosses, le saut acrobatique, le slopestyle et le half-pipe et deviendra comme l'alpin ou le ski de fond, et deviendra "une discipline" à part entière et surtout indépendante.
La FIS et les fédérations pourront ainsi valoriser beaucoup mieux le produit et vendre aux TV et sponsors des évènements à leurs juste prix.
Klaus Waldner, patron de la discipline, a détaillé sur le site officiel les principaux axes de travail et les innovations à venir, ceci dès la saison prochaine.
"Nous aurons un coup d'envoi de la saison avec le ski cross et snowboard cross aux Deux Alpes (FRA), probablement le premier week-end de novembre. Ensuite, nous aurons également une nouvelle station dans le calendrier avec Alleghe en Italie les 28 et 29 décembre.
"C'est génial d'avoir une course programmée pendant les vacances de Noël et combler cet écart avec les autres disciplines car nous n'avions aucune exposition télévisée entre Noël et le Nouvel An.
Nous aurons donc de nouveaux lieux de compétitions qui rejoindront les anciens.
De plus, la saison prochaine sera la première fois où nous ne serons plus sous l'égide du "Freestyle" et nous devons maintenant vraiment montrer le meilleur de notre sport et faire tous les efforts pour devnir une discipline forte.
Megève sera également de retour la saison prochaine, au total nous aurons un calendrier complet avec 22 compétitions. Jamais auparavant nous n'avions eu autant de courses en une saison.
Un autre objectif est d'investir le plus possible dans la sécurité de notre sport et d'avoir le moins d'athlètes blessés possible.
Nous voulons aussi agrandir nos calendrier au niveau des courses Europa Cup et des courses FIS, élever le niveau et la qualité des événements, pour retrouver à terme une plus forte concurrence en coupe du monde." conclu Klaus Waldner.