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Le ridicule et l'hypocrisie se poursuivent
Au moment où la Norvège décide de ne plus donner l'asile politique aux hommes Ukrainiens en âge de combattre, cette même Norvège et la Suède voisine sont aux anges car les équipes nationales de Russie ne participeront pas à la coupe du monde cet hiver.
Une décision désormais officielle, qui ne surprend personne, car elle était évidemment attendue, tellement ces deux nations, qui pèsent beaucoup trop dans les décisions, ont fait le forcing pour barrer la route aux Russes.
Pour eux il est bien plus important de se partager à deux toutes les médailles des prochains mondiaux, plutôt que de partager le gâteau à trois, avec la Russie.
A l'heure où la discipline coule, c'est évidemment une super idée de se priver de la 2e meilleure équipe du monde, la seule qui est capable de dynamiter les courses et empêcher le monologue Norvégien.
A l'heure ou les sponsors s'en vont, c'est évidemment une super idée de se priver de champions comme Bolshunov, entre autres, un des rares capables d'enflammer la discipline.
Bref, ces dirigeants Scandinaves sont tout simplement devenus toxiques pour le ski de fond et ils ne s'en rendent même pas compte, enfermer dans leur petit monde.
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Les mots hallucinants de Lars Oeberg
"Nous étions inquiets car on a senti ces derniers temps que des personnes aimeraient faire revenir les Russes. Ils étaient déjà présents aux JO de Paris et on avait peur de les voir revenir en ski de fond.
Aujourd'hui, après l'officialisation de l'interdiction pour une année de plus, nous sommes vraiments soulagés." a indiqué Lars Oeberg, directeur des équipes nationaes, à Expressen.
Ce discours hypocrite, inaudible et anti-sportif fait un mal terrible à l'ensemble du ski mais le plus important n'est-il pas de garder son petit pré carré juste pour se faire mousser ?
Pendant que le tennis et le cyclisme accueillent les Russes avec plaisir, pendant que les joueurs de football et de hockey sur glace Russes jouent dans les clubs Scandinaves et Européens, les skieurs restent des pestiférés, merci pour eux.
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Les équipes de Russie reviendront plus probablement en 2026 pour les JO, reste à savoir sous quelles conditions.
Pour le reste, on est très clair : Le sport et la politique sont deux choses différents et il n'est évidemment pas question pour nous de soutenir la guerre menée par la Russie.
Seule la paix, que l'on espère la plus proche possible, nous intéresse.
Mais avec une Lituanienne et une Estonienne (deux anti-russes primaires), tout juste nommées à la tête des Ministères Européens de la défense et des affaires étrangères, on est mal barré !
Visiblement Bruxelles et Van der Leyen n'ont pas trop envie de choisir la voie diplomatique...
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