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Tout va bien

Pour réussir dans le sport de haut niveau, la relation entraîneur, athlète, doit toujours fonctionner sinon les chances de réussir s'amenuisent très vite, et le biathlon n'échappe pas à la règle.

Quentin Fillon-Maillet, qui avait appris le métier avec un autre duo, a pris le temps qu'il fallait pour s'adapter aux méthodes de travail demandées par Vincent Vittoz et l'Italien Patrick Favre, pour le tir.

Aujourd'hui, après trois saisons ensemble, tout le monde a trouvé sa place et, le plus important, les résultats sont là.

"Déjà, je les remercie beaucoup parce qu’ils m’ont emmené jusqu’ici aujourd’hui et on a fait un super travail jusqu’à présent." raconte le Jurassien sur l'Est Républicain.

"Il y a eu quelques petites tensions parfois, mais surtout des très bons moments dans les compétitions, durant les entraînements et du coup on a fait un super travail tous ensemble."

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Pas simple tous les jours

Deux entraîneurs qui savent aussi pousser le groupe très loin dans l'effort pour le préparer à affronter toutes les situations durant l'hiver, des séances qui marquent les organismes.

"Je pense à Vincent qui nous a fait faire parfois des choses qui sont dures à l’entraînement, mais une fois qu’on démarre les courses, on sait pourquoi on a vraiment souffert et pourquoi il nous a poussés à ces moments-là."

Ce sont des moments qui ne sont pas forcément faciles, mais nos coaches sont là pour nous pousser, pour nous motiver, voire pour nous freiner. 

Donc voilà, c’est une équipe qui fonctionne très bien et ces deux coaches, je suis vraiment content d’avoir croisé leur chemin (…).