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Vers une année blanche ?
La nuit prochaine et les semaines à venir seront sans doute très difficiles pour tous celles et ceux qui vivent grâce aux retombées économiques du ski alpin.
Elle seront également très amères et incomprises par les millions de Français qui aiment pratiquer le ski alpin.
Malgré les très nombreux appels et demandes des milieux économiques concernés, le gouvernement se dirige, selon les informations du Monde, vers une fermeture prolongée en février, sonnant le glas de derniers espoirs.
Des hauts responsables de l'état auraient indiqués aujourd'hui que la situation sanitaire ne permettait pas de prendre des risques et qu'il n'était "pas question de privilégier les enjeux économiques sur ceux de la santé." expliquait Jean Castex dimanche sur France 5.
La peur des variants et la crainte d'une flambée auraient convaincu le gouvernement qui devrait acter tout cela mercredi lors d'un conseil de défense.
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Comme quoi le monde de la montagne, ses acteurs économiques, ses sociétés, ses commerces, ses indépendants, ses salariés, ses saisonniers, ne pèsent, pour les technocrates Parisiens, pas grand chose.
On rappelle que la France est un des rares pays Européens où les stations sont fermées. L'Italie en a fait de même, l'Allemagne, qui en compte très peu, également.
Sinon partout ailleurs, Suisse, Autriche, Espagne, Norvège, Suède, Russie, etc... les passionnés peuvent skier, sans aucune contamination ou cluster annoncé depuis décembre.