Victor Lovera tourne la page Rossignol et rejoint Madshus

À 25 ans, Victor Lovera change d’univers et quitte Rossignol pour Madshus. Une nouvelle étape vers le très haut niveau avec en ligne de mire les JO 2026.

Victor Lovera tourne la page Rossignol et rejoint Madshus 

Depuis ses débuts en ski de fond, le Français Victor Lovera glissait sur des skis Rossignol. Désormais il prend un nouveau départ en rompant avec la marque française pour rejoindre le fabricant norvégien Madshus.

À 25 ans, le fondeur entame une nouvelle aventure avec de nouveaux skis, de nouvelles chaussures et l’ambition de se faire une place durable parmi l’élite mondiale dès cette saison.

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Une progression fulgurante en coupe du monde

Avant l’hiver dernier, le meilleur résultat de Victor Lovera en Coupe du monde était une 27e place sur le 10 km nage libre aux Rousses en 2023.

Mais la saison passée a marqué un tournant : il a intégré l’équipe nationale après une impressionnante 7e place sur la même distance, aux Rousses. Il a ensuite enchaîné avec une 8e, une 13e et une 17e place.

Lors des championnats du monde à Trondheim, il a fait ses débuts en se classant 21e sur le 50km.

 Cap sur les JO 2026 avec Madshus

Désormais, Lovera a les yeux rivés sur les Jeux olympiques de 2026 à Milan/Cortina. Membre de l’équipe nationale française d’élite, qui compte dix skieurs, il aborde cette nouvelle étape avec un équipement flambant neuf.

« Nous sommes fiers d’accueillir Victor au sein de notre équipe. C’est une étoile montante qui contribuera grandement au développement de nos produits, tout en se concentrant sur les Jeux olympiques de 2026 à Milan/Cortina et, plus tard, sur les Championnats du monde de Falun 2027 »

Victor Lovera n’est pas le seul Français à succomber à l’appel 

Ces dernières saisons, plusieurs compatriotes ont fait le même choix, comme Jules Chappaz, Melissa Gal et la star du biathlon Émilien Jacquelin, qui ont rejoint l’équipe l’an dernier.

Changer de marque est souvent décrit comme une décision difficile pour les athlètes. Passer d’un équipement qu’ils maîtrisent parfaitement à un matériel inconnu, avec tous les ajustements que cela implique, représente toujours un défi de taille.

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