« Je n’ai vraiment pas d’explication. C’est un sport cruel, parfois. Je ne comprends pas, je vais devoir analyser la course plus tard. J’ai manqué de punch dans les cent derniers mètres.
J’ai vu le Sud-Africain revenir sur moi au dernier moment, mais c’était trop tard pour en remettre. Normalement, les courses des séries comme ça, je les passe.
C’est une contre-performance, dans une course qui se finit en 3’36’’. J’étais vraiment bien tout le long, mais je n’avais plus rien à la fin.
Je contrôlais, je lance le sprint, je regarde les autres autour, mais à 50 m, je voyais la ligne d’arrivée s’éloigner.
C’est un jour sans. J’ai la meilleure performance mondiale, mais je suis tombé dans le piège des séries, voilà. » explique Azzedine Habz.
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