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Un format innovant
Depuis l'hiver passé, la Fédération Internationale de Biathlon (IBU) teste ce nouveau format sur le circuit B selon le règlement suivant.
Toutes les biathlètes prennent le départ des qualifications avec un tir couché et un tir debout au programme, avec trois balles de pioche. Ceci sur une distance de 3200m.
Les trente plus rapides se qualifient pour la finale qui se déroule cette fois avec quatre tirs, toujours les balles de pioche et tour de pénalité si nécessaire. Tout le monde part en même temps selon la grille de départ des qualifications.
Du coup ce super-sprint se transforme, une fois en finale, en une sorte de mass-start très raccourcie ou le tir prend beaucoup d'importance.
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🇸🇪I.Andersson, "It's always hard with the altitude here for us and before the start, I felt that my breathing and heart rate were a little heavier than normal. Plus, SSP is more of shooting competition, but today I felt confident on the range."
— IBU Cup Biathlon (@IBU_CUP) December 12, 2019
📸: @foto_deubert pic.twitter.com/175ZsOcBmQ
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Victoire Suédoise
Ingela Andersson, décidément à l'honneur sur ce début de saison, profite de sa vitesse sur les skis pour venir passer l'Ukrainienne Anastasia Merkushyna juste avant la ligne d'arrivée.
Elle s'impose en 16'26 avec 2sec d'avance sur l'Ukrainienne et 6sec sur Lou Jeanmonnot.
Seulement 24e des qualifications la Jurassienne se montre très précise au tir avec une seule pioche, sur sa toute dernière balle. Le succès était au bout de son fusil mais son podium lui convient parfaitement.
Tout sourire, elle va savourer sa performance en attendant la suite de la semaine avec un sprint et un mass-start, à 60, prévus samedi et dimanche.
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Camille Bened se classe 10e avec deux tours de pénalité.
Gilonne Guigonnat 27e avec trois tours.
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Photo : Equipe de France de biathlon
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