L’IBU sera sans doute la dernière
Pendant que le tennis, le judo, le cyclisme et récemment la natation acceptent les athlètes Russes, sous bannière neutre, pendant que des centaines de joueurs professionnels Russes évoluent en Europe ou aux USA dans des clubs de football ou de hockey sur glace, l'IBU reste droite dans ses bottes.
Dirigé par un président Suédois et des Allemands, anti-russes depuis des décennies, pour eux il n'est pas question de faire la moindre ouverture à des sportifs venant de ce pays.
Jeunes ou moins jeunes, tous sont mis à la même enseigne et regarderont les prochains JO à la TV, tout comme les épreuves de coupe du monde. Une situation que l'on regrette mais finalement, une situation qui arrange bon nombre de nations, sportivement.
Pas question pour nous de prendre parti politiquement, on est évidemment pour la paix et la fin rapide de cette guerre monstrueuse, mais les sportifs n'ont pas à payer les débilités et les crimes de leurs dirigeants.

Ceci étant dit, on vous poste ci-dessous le dernier communiqué de l'IBU qui met fin au débat, concernant les JO 2026 et la présence des Russes.
"Les Comités Nationaux Olympiques qui n'ont pas déjà obtenu de quotas via les points de la coupe du monde pourront se qualifier, en obtenant un maximum de deux places par sexe via le classement par points de l'IBU"
Malgré les demandes du CIO, qui aurait aimé, comme à Paris 2024, laisser participer des athlètes sous bannière neutre, l'IBU a dit non.
"Les athlètes « neutres » de Russie ou de Biélorussie ne pourront pas se qualifier car le règlement ne prévoit aucun alinéa à cet égard." indique la Fédération Internationale sur son site.
Attendez-vous à voir la FIS prendre la même décision dans quelques jours, histoire de laisser les Norvégiens et les Suédois remporter toutes les médailles olympiques. Entre amis, la soupe est bonne !