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L'importance de la glisse
Si vous ne possédez pas le bon fartage, à ce niveau là, il est impossible d'espérer quoi que ce soit, encore plus lorsque les techniciens passent totalement à côté de leur sujet.
"Malheureusement, une médaille était impossible. Il faut appeler un chat un chat. Nous avons une équipe de fartage incroyablement bonne, mais je pense que nous devons dire que notre matériel aujourd'hui était imparfait.
Le rêve de médaille disparaît immédiatement" déclare Endre Strømsheim, qui termine 9e du 20km des mondiaux, avec une seule faute, mais trois minutes derrière Eric Perrot.
Ses coéquipiers, mauvais face aux cibles, étaient également scotchés sur la piste, ce qui n'a pas arrangé leur bilan.
"C'est vraiment dommage. Je pense que nous devons simplement réfléchir et tout remettre à plat. Ce n'est certainement pas le niveau que nous souhaitons offrir à nos biathlètes », a expliqué la patron des techniciens Tobias Dahl Fenre.
Je ne peux pas vous dire pourquoi on s'est raté. C'est un peu extrême et terriblement ennuyeux. Nous devons passer en revue ce que nous avons fait et voir ce que nous découvrons."
Dans le doute, les techniciens Norvégiens vont devoir comprendre et mettre les bouchées doubles car les relais et les mass-start, prévus samedi et dimanche, se dérouleront également sur le même type de neige.
En revanche, côté Français on va aborder ce dernier week-end mondial avec une énorme sérénité.
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