Carlos Alcaraz après sa victoire à New York

« La vérité, c'est que pour moi, c'est incroyable.» indique Carlos Alcaraz face à la presse.

C'est pour ça que je travaille et que je m'investis à chaque match, pour vivre des moments comme celui-ci, pour remporter un autre Grand Chelem.

Il faut comprendre à quel point c'est difficile. Il faut s'arrêter et savourer l'instant, car c'est très compliqué. »

Numéro 1 et le Grand Chelem de la « maturité »

« Être numéro un était un objectif pour moi en début d'année. Y parvenir et constater que j'y suis parvenu est incroyable.

Ce furent deux semaines spectaculaires et un tennis de très haut niveau dont je suis très fier. Cet US Open a probablement été le moment de ma maturité. En 2022, j'ai repoussé mes limites physiquement.

Petit à petit, je mûris et je maîtrise mieux les choses. Je pense que 2022 était l'année de ma jeunesse, et celle-ci est celle de ma maturité. »

Les changements futurs chez Sinner

"Au final, je pense que c'est une question de progrès. On discute avec son équipe et on adapte l'entraînement, et je pense qu'il sera différent la prochaine fois qu'on jouera.

Je n'ai pas l'impression que la balle est dans son camp.

Maintenant, je dois travailler pour voir ce qu'il va améliorer pour la prochaine fois, et je vais essayer d'anticiper et de réfléchir à ce qu'il fera pour me battre, et à partir de là, essayer de progresser.

Cette rivalité est magnifique, car on se pousse mutuellement à bout et on s'améliore mutuellement, sur et en dehors du terrain."

Alcaraz à son apogée ?

"Je pense être au meilleur de ma forme, pas encore à 100 %, mais je travaille pour y parvenir. À 22 ans, être au meilleur de ma forme est difficile, je pense.

Petit à petit, je vais continuer à progresser pour essayer d'atteindre 100 %. Carlos n'a pas encore atteint son meilleur niveau."