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Pas simple

"Je ne souhaite pas rendre la double vaccination obligatoire pour les JO, mais en même temps je n'ai pas vraiment envie de voir des athlètes arrivés en Chine avec un shéma incomplet et faire trois semaines de quarantaine."

Les propos de la présidente de l'OESV ne laissent guère de place au doute, personne n'arrivera en Chine sans avoir reçu ces deux doses. Mais d'un autre côté, en bonne politique, elle avoue comprendre la réticence de certains.

"Chacun doit décider pour lui-même, nous ne pouvons obliger personne. Nous pouvons seulement faire des recommandations." poursuit-elle. "Certains athlètes ont eu beaucoup de mal à tolérer la première dose, avec des effets secondaires parfois sérieux.

Ces mêmes athlètes ne sont pas contre la seconde dose mais ils la craignent, ils ont simplement peur d'avoir des effets secondaires encore plus intenses. Ce n'est pas un sujet facile, c'est un problême et une de plus grosses préoccupations." conclu t'elle.