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Des précautions à la pelle
Avant de s’envoler pour l’italie et de rejoindre le camp de base au Passo Lavaze, les dirigeants Norvégiens ont établi un plan sanitaire drastique.
Tests covid et biathlètes déjà isolés avant le départ, double protection avec des masques durant tout le voyage.
Lavage des mains ultra fréquents, nourritures et chef cuisinier emmenés avec eux depuis la Norvège.
Et pour ce long stage en altitude, la fédération a tout simplement privatisé un petit hôtel, à l’écart du village.
Si tout se passe comme prévu, tous les biathlètes ne verront personne durant ces trois semaines.
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L’altitude passage obligé
“Je sais que les Allemands travaillent souvent en altitude, les Italiens aussi” explique Tiril Eckhoff à la NRK.
Elle n’évoque pas les Français qui passent également beaucoup de temps sur les hauteurs, mais connaît l’importance de ce genre de stage.
“Je suis contente car on pourra faire aussi bien que les autres, c’est important de s’entraîner en altitude.
On prend également nos marques pour la saison prochaine avec les JO qui se dérouleront à 1700m.”
A noter que Johannes Boe, volontairement, Tarjei Boe, pas au top de sa forme, et Marte Roeiseland, légèrement blessée, ne sont pas présents.
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Photo : Nordic Focus
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