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Paulina Batovska Fialkova prépare son retour

Agée de 31 ans, la star du biathlon Slovaque a zappé l'hiver 2024 pour devenir maman d'une petite Romana, avant de reprendre sa carrière dès la saison prochaine, toujours avec une grosse envie.

"Je me sens bien et motivée comme une jeune biathlète. L’entraînement a été dur au début, mais j’ai l’impression de revenir petit à petit dans le jeu.

Les premiers mois de ma grossesse ont été fatigants. Je me sentais épuiséz et je ne pensais pas du tout au sport.

Mais au cours de la deuxième partie de la grossesse, j’ai gagné beaucoup d’énergie et j’ai commencé à faire des activités agréables.

Depuis la naissance de ma fille, mon rayon de soleil,même les jours de pluie, ous avons trouvé notre équilibre très rapidement.

Je suis très reconnaissante qu’elle ait été coopérative depuis sa naissance car elle dort super bien." avoue Paulina Batovska Fialkova sur le site de l'IBU.

(suite sous la photo)

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Objectif coupe du monde

Passant à la déclinaison du nouveau programme d'approche des compétitions, Fialkova explique :

« Cet été, j'aurai plusieurs stages en Autriche et à Osrblie, je rejoindrai les équipes masculines et juniors avec mon entraîneur, Martin Bajcicak (ancien fondeur de haut niveau).

Je voyagerai avec mon mari ou mes parents pour obtenir du soutien. Nous verrons comment ma formation et ma logistique fonctionnent ensemble. Si tout se passe bien, je compte démarrer la saison comme prévu.

Mais cela ira aussi si je démarre la saison plus tard. Nous ferons quelques tests pour évaluer la situation, pour vérifier mon état de forme en temps voulu.

J'aimerais avoir ma petite fille avec moi pour quelques étapes mais on verra avec le temps.

Justine Braisaz Bouchet et Baiba Bendika sont devenues des athlètes encore plus fortes depuis qu'elles sont mamans, elles sont donc une source d'inspiration pour moi.

Mais toutes les mères ne peuvent pas revenir plus fortes, c'est pourquoi je ne veux pas avoir de grandes attentes. J'ai aussi parlé auparavant avec Anaïs Chevalier-Bouchet et avec d'autres athlètes, mamans de sports différents.

Et toutes me disent qu'il faut sacrifier un peu sa famille pour que tout cela soit possible."

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