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Toujours la même rengaine

Chaque semaine depuis le début de la guerre en Ukraine, les fondeuses et surtout les fondeurs Norvégiens demandent hauts et forts dans tous les médias l'interdiction des fondeurs Russes en coupe du monde.

Un avis qui se comprend, qui se respecte mais lorsque cela tourne à l'obsession, cela devient pénible pour ne pas dire plus.

D'ailleurs une coupe du monde de ski de fond sans la Russie n'aura évidemment pas la même valeur sportive et pourrait ressembler à un championnat de Norvège. Est-ce le but recherché ?

Pendant ce temps leur compatriote Casper Ruud, finaliste de Roland Garros, continue d'affronter sur le circuit des Medvedev, Rublev ou autres Khachanov sans que personne ne s'en émeuve en Norvège, alors l'hypocrisie de Klaebo, Valnes, Iversen et compagnie, on pourrait aussi s'en passer.

Même chose lorsque leurs joueurs de hockey sur glace affrontent des Russes sur les patinoires Européennes, Américaines ou Canadiennes.

Ceci étant dit, revenons au sport, avec les louanges, pour une fois, signés par le champion olympique de team sprint Erik Valnes, à propos de son rival Alexander Bolshunov.

"On sait qu'il s'entraine énormément, qu'il fait de grosses et longues sessions. C'est une vraie machine, rien ne lui fait peur et nous sommes certains de le revoir en pleine forme lorsqu'il pourra revenir en compétition."

"Le voir travailler si fort c'est aussi une motivation pour nous et parfois une inspiration." a indiqué Valnes sur Nettavisen.