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Coupe du monde / Kontiolahti / Relais 4*6km dames

 

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Top 3

1/ Suède avec Skottheim, Brorsson, E.Oeberg et H.Oeberg : 1h12'44 (0+8)

2/ France avec Bescond, A.Chevalier, C.Chevalier et Braisaz : à 10sec (0+9)

3/ Allemagne avec Hinz, Preuss, Hammerschmidt et Herrmann : à 44sec (0+12)

 

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Les Suédoises répondent présentes

Pour ce premier relais de la saison, on attendait monts et merveilles de l'équipe Suédoise emmenée par les excellentes Elvira et Hanna Oeberg.

Un collectif jaune et bleue qui s'est installée, pour le moment, au sommet du biathlon féminin mondial.

Et ce relais n'aura fait que confirmé la solidité actuelle de cette équipe sûre de ces forces, qui possède une incroyable densité d'athlète, une fille d'avenir et une grande leader.

Après un bon départ de Skottheim et de Brorsson, les soeurs Oeberg ont pris les choses en main malgré la belle résistance des Françaises.

Mais comme depuis le début de cet hiver 2021, Elvira et surtout Hanna Oeberg, leader du général, sont un peu plus fortes que les autres. La N°1 Suédoise, très motivée, venant couronner en beauté le travail de ses coéquipières.

Cette victoire Suédoise, qui intervient le jour ou la Norvège plonge, cauchemar pour Knotten et Eckhoff, fera sans doute le bonheur des médias Scandinaves.

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Les bleues brillantes

Et, nous concernant, c'est bel et bien l'équipe de France qui fait notre bonheur après une partition sans faute, ou presque.

Anais Bescond, qui a très bien lancé la course, Anais Chevalier Bouchet, aérienne, qui a ramené la France en tête, Chloé Chevalier, en constant progrès, qui lutte avec Elvira Oeberg ont toutes les trois assurées.

Et Justine Braisaz, dont certains critiquaient sa place de 4e relayeuse, a elle aussi réussi un excellent relais, ne lâchant pas grand chose face à la meilleure biathlète, actuelle, du monde.

Comme souvent le collectif Tricolore se fait plaisir et fait plaisir à ses centaines de milliers de fans sur ce format qui leur convient très bien.

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L'Allemagne pas inquiétée

Derrière le duo majeur de ce relais, les coéquipières de Denise Herrmann, ultime relayeuse, se sont progressivement et logiquement attribuées la troisième place.

Les autres nations, souvent en difficulté dans les rafales de vent, ont fait connaissance avec l'anneau de pénalité.

Deux tours supplémentaires pour la Russie, l'Autriche et l'Ukraine et surtout trois pour la Norvège qui avait déjà mis un croix sur la course dès le premier relais.

Karolin Knotten, pourtant montée sur le podium du 15km  la semaine dernière, va vivre un mauvais rêve. Une chute avant le tir couché, de la neige qui rentre dans la carabine, de la fébrilité et deux minutes s'envolent.

C'était pas le plan prévu pour cette Norvège qui va tout de même gagner quelques places avec Tandrevold et Roeiseland.

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Suite de la coupe du monde dimanche avec une poursuite

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