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Le gros point noir des JO

Depuis 6 jours, les athlètes se régalent et évoluent tous dans des lieux incroyables, au milieu d'une foule bruyante et enthousiaste portée par les exploits des athlètes venus du monde entier.

Tout le monde complimente les organisateurs sauf les triathlètes, qui le font en off, obligés de nager dans une eau très sale, pour ne pas dire plus, loin de ce que les grands médias vous racontent.

Le plan à 1,4 milliards d'euros mis en place pour nettoyer le fleuve n'a pas fonctionné et certains athlètes osent tout de même prendre la parole.

«J’ai bu beaucoup d’eau, donc on saura bientôt si je suis malade ou pas. Ça n’a pas le goût de Coca-Cola ou de Sprite, évidemment», explique la Belge Jolien Vermeylen.

Son compatriote Marten Van Riel ajoute :

«Ce sont des conneries, l'eau est sale. En nageant sous le pont, j’ai senti et vu des choses auxquelles on ne devrait pas trop penser.

La Seine est sale depuis cent ans, alors ils ne peuvent pas dire que la sécurité des athlètes est une priorité."

Selon lui, l’épreuve de natation n’aurait pas dû être maintenue après les pluies survenues la nuit avant le triathlon. Il a même affirmé que l’annulation de la nage dans la Seine aurait été une «honte pour l’organisation, pour Paris, pour la France».

Dans de nombreuses équipes les médecins ont donné des antibiotoques et des traitements spéciaux à leurs athlètes afin d'éviter une possible contamination fécale en buvant une tasse, par exemple.

"On aurait du prévoir un plan B, mais ils ont préféré jouer avec la santé des triathlètes." ont conclu les deux Belges.

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