Thibaut Favrot : "Sur chaque séance on se tire la bourre"

Une préparation contrariée

À quelques jours du premier slalom géant de la saison, prévu ce dimanche, le Vosgien Thibaut Favrot n’est pas encore à 100 % après avoir lutté tout l’été contre des soucis récurrents au dos.

Résultat : il n’a pas pu skier autant qu’il l’aurait souhaité, mais les choses rentrent progressivement dans l’ordre.

« Tout le ski que j’ai fait précédemment ne s’envole pas. J’ai de l’expérience sur pas mal de pistes, sur pas mal de neiges différentes.

Avec le staff, on a bien analysé la saison dernière et on se rend compte que je suis capable d’être performant sur presque toutes les pistes, presque tous les secteurs. Il manque des courses pleines maintenant. »

« Cette année, j’ai mon dos qui est un peu plus friable, on va dire, mais je serai prêt quand il faudra, il n’y a pas de problème. » confie-t-il sur le site du Dauphiné.

Le retour d’Alexis Pinturault va faire du bien

Après avoir passé une dizaine d’années dans sa cellule privée, le Savoyard Alexis Pinturault a réintégré le groupe France de slalom géant, pour sa dernière saison en carrière.

Une excellente nouvelle pour Favrot : « Je suis le meilleur Français au classement mondial (WCSL), mais ça ne veut pas dire que les autres ne sont pas bons.

Sur chaque séance, on se tire la bourre, que ce soit un coup Léo (Anguenot), Diego (Orecchioni), Flavio (Vitale), Alban (Elezi-Cannaferina) ou encore Alexis (Pinturault).

Il y a toujours un qui est capable de remettre une pièce, et c’est ça qui crée l’émulation dans un groupe. »

« Je suis très content d’avoir Alexis avec nous, parce qu’on peut profiter de son expérience. »