...

Une politique illisible

Le gouvernement Chinois, via son ministère des sports, avait mis les très grands moyens pour préparer les JO de Pékin. Beaucoup, au pays, espéraient venir remporter des médailles dans les disciplines de glisse, mais sans surprise, la barre était trop haute.

Il ne suffit pas de débaucher des célèbres entraineurs, de les faire travailler quatre ans avec des sportifs peu habitués aux contraintes du haut niveau pour réussir.

Sans surprise les biathlètes et les fondeurs avaient bouclé les JO fanny, loin des illusions gouvernementales. Il y aura eu tout de même quelques réussites, on pense à l'excellent fondeur Qiang Wang, venu prendre la 2e place du sprint de Drammen en coupe du monde.

Certes, ce jour là, il manquait tout les meilleurs Norvégiens et tous les Russes, mais le garçon était intercalé entre Richard Jouve et Lucas Chanavat.

Peut-être séduit par ce résultat les Chinois ont ensuite fait signer un nouveau contrat de quatre ans aux entraineurs Norvégiens, Rönning, Bach, Langli et Aabol, afin de préparer les JO 2026.

Motivé le quatuor se lance dans cette nouvelle mission avant de recevoir cette semaine une lettre de licenciement, sans autres explications.

"C'est une énorme surprise pour nous, on ne s'attendait pas à cela. D'après ce qu'on a entendu, il semble que les dirigeants Chinois souhaitent abandonner la construction de cette équipe.

Tout porte à croire que les fondeurs Chinois ne seront pas présents en coupe du monde cet hiver." indique Bernhard Rönning à Adresseavisen