...

En quête d'un Golden Slam

Dans toute l'histoire du tennis, personne n'a pu gagner les quatre tournois du Grand Chelem et les JO la même année. Un Golden Slam mythique qui fait évidemment rêver Novak Djokovic.

Après l'Open d'Australie, Roland Garros et Wimbledon, il lui reste trois matches à gagner à Tokyo et l'US Open fin août pour réaliser cet immense exploit. Et pour lui pas question d'évoquer la pression, un mot qu'il ne connait plus.

Son avis, intéressant, tranche avec la plupart des personnes qui disent comprendre Simone Biles, en tourment, avec sa vie de professionnelle. Pour le Serbe, la pression est comme le reste, il faut appendre à la maitriser.

"La pression est un privilège. Sans elle, il n'y a pas de sport professionnel." explique t'il une nouvelle fois.

Pour espérer rester au sommet d'un sport, on a intérêt à apprendre à gérer la pression. Sur et en-dehors du terrain, toutes les attentes. J'ai appris à développer un mécanisme pour gérer cela de manière à ce que ça ne me dérange plus, ça ne m'usera plus", affirme le "Djoker".