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L'histoire du ski

Depuis la nuit des temps, cette discipline sacre les skieurs polyvalents, les skieurs les plus complets. Ces dix dernières années, le combiné, qui sourit très souvent aux Français, avait perdu de son attractivité.

Les meilleurs, usés par un calendrier trop chargé, n'étaient pas souvent au départ des rares courses proposés. Seuls les mondiaux ou les JO attiraient encore l'élite.

Du coup on était, l'hiver dernier, pas loin d'un enterrement définitif de ce format historique.

Finalement, et contre toute attente, la FIS, poussée par certaines équipes, a décidé de lui redonner une nouvelle vie en programmant dès cet hiver 4 combinés pour les dames, 3 pour les hommes.

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Un nouveau format

Les fans de ski alpin connaissent le règlement en vigueur avec une descente, ou un super-G, pour débuter la journée. Puis un slalom avec le 30e de la course du matin qui s'élance le premier.

Le plus rapide de la descente, ou du super-G, s'élançant le dernier.

Dès l'hiver prochain le règlement change pour le slalom. Cette fois la liste de départ sera une copie du résultat de la descente, ou du super-G. Le plus rapide s'élançant tout simplement en premier sur la manche de slalom.

Ce format devrait redonner un petit avantage aux descendeurs par rapport aux techniciens et cela ne plait pas à tout le monde.

Julien Lizeroux, le vétéran de l'équipe de France, n'a pas l'air emballé.

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Le parallèle change également

Du nouveau là aussi avec désormais une manche de qualification. Les 32 plus rapides entreront dans le tableau final.

On aura des 1/16e sur deux manches, puis un KO Systême dès les 1/8e pour rendre le format plus attractif et, dit-on, plaire aux TV.

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Photo : FIS Ski / Facebook

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