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Dorothea Wierer dépitée après sa 7e place avec le relais Italien
Il n'y a pas grand-chose à dire aujourd'hui. J'en ai marre, je n'ai plus d'énergie, je n'ai plus de force et je suis content d'être arrivé au bout.
Participer au mass start ? Je ne sais pas si cela a du sens d'insister plus longtemps, parce que si je ne suis toujours pas bien, cela n'a pas de sens de faire de la compétition en étant à moitié malade... non merci.
Après les mondiaux, il ne reste qu'une semaine de pause et puis ça recommence, donc je dois récupérer un moment. Mais je déciderai plus tard ce soir ou demain matin si je ferai ou non ce mass-start.
Je me sens aussi beaucoup plus essoufflée lorsque je skie et, évidemment, je ne suis pas vraiment libre de respirer.
. Une maladie au mauvais moment ? Disons que je suis vraiment désolé, mais d'un côté j'y suis aussi habitué car je tombe malade au moins une fois par saison, donc j'essaie de le prendre avec philosophie.
C'est évidemment un peu dommage car je savais que je me sentais plutôt bien, mais au final, on ne peut rien y faire. Il faut juste l’accepter." explique Dorothea Wierer à Fondo Italia.
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