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Dorothea Wierer et ses JO
Employée par Eurosport Italie durant toute la quinzaine olympique, Dorothea Wierer a connu une nouvelle expérience en passant cette fois du côté obscur, derrière la caméra, en tendant aussi son micro dans les coulisses de la compétition.
«C'était fatigant, mais beau , je ne m'attendais pas à ce que les Jeux olympiques d'été soient beaucoup plus grands que les nôtres. La différence m'a presque choqué.
J'ai vu et appris tellement de choses, rencontré tellement de gens extraordinaires et découvert combien de travail est nécessaire pour un événement comme celui-ci dans les coulisses.
C'est fou combien de personnes sont occupées à rendre tout parfait."
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Pas toujours facile d'être journaliste
"Je me suis rendu compte combien il pouvait être difficile d'être journaliste, il faut être là tout le temps à attendre que les athlètes se changent et ensuite faire tout le travail ultérieur.
Cette fois, cela m'est arrivé, qui n'étais pas vraiment journaliste, car dans votre cas, c'est encore plus intense.
J'imagine combien il est difficile de suivre nos courses en hiver avec ces températures et de nous attendre."
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Dorothea Wierer sous le charme du public
"Le public français c'est quelque chose d'impressionnant, il a tellement de compétence et de passion.
Chaque discipline semblait être le sport national, tous les stades étaient pleins, partout où j'allais.
Ce serait merveilleux si c'était aussi le cas ici en Italie.
J'ai également été frappé par le fait que de nombreux fans français m'ont également reconnu en m'arrêtant, ce à quoi je ne m'attendais pas en tant que participant aux Jeux olympiques d'été." concou Dorothea Wierer, interrogée par Fondo Italia.
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